Faire notre part pour accélérer le développement de l’économie circulaire

Le dévoilement de la première Feuille de route gouvernementale en économie circulaire vient confirmer une ambition provinciale qui résonne jusque chez CoeffiScience. Ainsi, des interventions innovantes sont en cours ou en voie d’être réalisées en appui à cette transition dans les secteurs des énergies, des procédés et de la chimie.

 

La Feuille de route gouvernementale en économie circulaire (FREC) a été dévoilée dernièrement en collaboration avec RECYC-QUÉBEC et découle de la Stratégie gouvernementale de développement durable.

 

Consultez le lexique des termes de l’économie circulaire

 

D’ailleurs, la contribution de nombreux ministères, sociétés et organismes œuvrant dans des secteurs stratégiques de l’économie québécoise sera nécessaire afin que les actions aient des retombées concrètes sur l’environnement.

 

Le mode de production et de consommation actuel fait en sorte d’épuiser graduellement les ressources naturelles, de fragiliser les chaînes d’approvisionnement et de générer le gaspillage de matières résiduelles dont le potentiel de valorisation n’est pas exploité.

 

L’ambition provinciale découlant de la FREC a des répercussions jusqu’au bureau de CoeffiScience. En effet, nous souhaitons faire notre part afin d’accélérer le développement de l’économie circulaire avec des projets dédiés aux entreprises des secteurs des énergies, des procédés et de la chimie.

 

Entre autres, un parcours de formation sur l’économie circulaire est présentement en cours de planification. Celui-ci sera entièrement créé en se basant sur une étude des besoins réels du secteur. Au cours des prochains mois, d’autres projets liés directement aux enjeux du secteur seront présentés à nos entreprises.

 

Nous vous invitons à vous inscrire à notre infolettre « Le Catalyseur » ou à nous suivre sur nos réseaux sociaux afin d’en apprendre plus sur les efforts mis en place par CoeffiScience pour favoriser l’économie circulaire.

Justification d’absences : les employeurs doivent s’adapter à une nouvelle loi

Avec la nouvelle année vient de nouvelles obligations pour les employeurs envers leurs employés. C’est le cas depuis le 1er janvier 2025 avec l’entrée en vigueur de la modification d’une Loi sur les normes du travail en lien avec la justification d’absences de leurs employés. Une adaptation rapide est donc nécessaire pour les employeurs, dont ceux des secteurs de l’énergie, des procédés et de la chimie.

 

En effet, celle loi visant principalement à réduire la charge administrative des médecins et modifiant la Loi sur les normes du travail (LNT) limite la capacité des employeurs à exiger des documents justifiant les absences de leurs employés.

 

Absences pour maladie ou raisons personnelles

 

Les employeurs ne peuvent plus demander de document attestant des motifs d’absence lors des trois premières périodes d’absence d’une durée de trois jours consécutifs ou moins sur une période de 12 mois, pour les raisons suivantes :

 

  • Maladie
  • Don d’organes ou de tissus à des fins de greffe
  • Accident
  • Violence conjugale
  • Violence à caractère sexuel
  • Acte criminel

 

Au-delà de ces trois premières absences, ou si l’absence dépasse trois jours, l’employeur peut exiger un document justificatif si les circonstances le justifient, notamment en raison de la durée ou du caractère répétitif de l’absence.

 

Absences pour obligations familiales

 

Concernant les absences visant à remplir des obligations liées à la garde, à la santé ou à l’éducation de l’enfant de l’employé ou de son conjoint, ou en raison de l’état de santé d’un membre de la famille ou d’une personne pour laquelle l’employé agit comme proche aidant, l’employeur ne peut plus exiger de certificat médical pour justifier ces absences.

 

Cependant, l’employeur peut demander d’autres types de documents attestant des motifs de l’absence, si les circonstances le justifient, en tenant compte notamment de la durée ou du caractère répétitif de l’absence.

 

Obligations de l’employé

 

Malgré ces restrictions, l’employé demeure tenu d’aviser l’employeur le plus tôt possible de son absence et des motifs de celle-ci et de prendre les moyens raisonnables pour limiter la durée de son absence.

 

N’oublions pas que ces modifications visent à alléger la charge administrative des médecins et, par le fait même, à améliorer l’accès aux soins de santé en réduisant le temps consacré à la rédaction de certificats médicaux pour des absences de courte durée.

 

Les tâches administratives représentent plus de 25 % du travail des médecins de famille, selon les études de l’Association médicale canadienne.

 

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à communiquer avec nous.

 

Sources : Groupe TCJ, Monette Barakett et McCarthy Tétrault.